Un bout de ma vie

Ma femme est morte, elle est soit disant au cimetière. On me l’a ressuscité dans du sado maso crade zoophile avec une copine anglaise, 1^ère interprète d’un film « un poisson nommé Wanda » des Monti pythons, soit une Jamie Lee Curtis.

Là, j’ai pêté un câble, j’ai sorti mon riot gun en menaçant les responsables.

En principe, ces filles étaient les reines de Green Peace pour le paradis.

J’ai fini à Greenpeace pour le 1^er combat soit sauver les baleines.

Pour que ça se sache, je connais le 1 er combat du Rainbow Warriors à noël 74 dans la ville des marins pêcheurs. J’avais 12 ans.

C’est le genre de truc, qu’on n’oublie jamais.                       

J’ai fait 680 pétitions pour sauver les baleines, tout en sachant que pertinemment que 100 signatures, pour être pris au sérieux, c’est suffisamment. Il y a eu 280 partis à Greenpeace et 400 à l’ambassade.

Je ne sais pas ce que ça a donné mais en tout cas, il n’y a plus le droit de pêcher les baleines bleues à fanon.

J’ai eu à faire à un sale con barbu délégué du gouvernement, sous François Mitterrand, qui nous a balancé à la gueule, lors de la réunion nationale des maisons de chômeurs à Paris :

« Le minimum vital, c’est possible mais vous attendrez 2 ans ».

Contre tous les espoirs, parce que c’était accordé par Bernard Stasi maire d’Epernay et Jean Remy Moët et Chandon (qui m’invitait à tous ses pots d’honneur à la mairie).

Le 115 n’aurait jamais dû arriver, ça c’est à cause d’un curé Mr Hep, de l’association Saint Vincent de Paul. Quand je montais mon centre d’accueil, est venu me voir et balancé en pleine tête : « vous ruinez mon œuvre », même pas capable de payer un ophtalmo à une fille qui allait devenir aveugle.

C’est le genre de truc qui m’exècre.

Pour tout renseignement, sur le centre d’accueil qui était ok avec la mairie et avec l’office des HLM dont le patron était Mr Gontard à Epernay, à la retraite mais toujours vivant.

J’ai dû abandonner le job suite à une saloperie de renseignements. Tout tombait à l’eau. J’ai demandé Mr Maurice Pagat, le fondateur du moment dans l’émission : « Droit de réponse » de Michel Polac.

Je ne suis pas tombé sur lui ; je n’ai pas compris la vulgarité du Maurice que j’avais eu au téléphone. Ça ne devait pas être lui.

Thierry Prevot

Ancien trésorier de la maison des chômeurs d’Epernay qui s’est fait mettre gros comme une valise.